Un ≈ Mary parle peu, mais toujours bien, ce n'est pas elle que vous entendrez dire une seule insulte. Deux ≈ elle n'aime pas qu'on la force à faire quelques chose ou bien vous en subirez les conséquences. Trois ≈ Mary ne râle jamais, elle ferme toujours sa bouche, jusqu'au moment où ça ne peut plus encaisser et vous dira vos quatre vérités sans un mot mal placé. Quatre ≈ elle est très souvent sérieuse, quand on lui arrache un sourire, c'est un miracle et une date à marquer tout de suite. Cinq ≈ elle considère que les femmes n'ont pas à se taire face aux hommes, qu'elle a un rôle à jouer et son mari ne cherche pas à la contredire. Six ≈ Elle a peur des événements de sa ville, elle a peur pour sa vie et celle de sa famille et essaye de montrer le plus possible qu'elle n'a pas demander à avoir sa place actuelle. Sept ≈ elle se considère chanceuse d'avoir de l'argent, elle en donne aussi régulièrement pour les personnes nécessiteuses, il n'est alors pas rare de la voir dans les rues pour aider les pauvres à vivre. Huit ≈ elle aide dans sa maison, elle fait son lit avec sa femme de chambre, aide un peu . Neuf ≈ elle est mariée à un homme qu'elle aime et qui l'aime en retour, chose rare dans son milieu et profite de chaque jour au coté de celui-ci. Dix ≈ Elle aime chanter, il n'est pas rare de l'entendre par la fenêtre de son domicile, il est possible de l'entendre chanter si vous venez à une des fêtes qu'elle aura organisée.

T'es arrivé ici comment ? ≈ par bazzart. Tu penses quoi de ce joyeux bordel ? ≈ c'est juste génial, un beau bordel organisé . Un truc à nous dire ? Une petite cassdédi ? ≈ Genre j'aurai quelques chose à dire... t'as même pas lu ma fiche et tu viens me demander si j'ai un truc à dire ?? nan, mais va boire ton thé . Le mot magique pour passer ≈ ce n'est pas personnel, c’est uniquement les affaires.

Lady Mary, 8ans.
« Mais, père !Pourquoi ne laissez-vous pas rentrer ce pauvre chien? Il va attraper la mort par cette neige ? » Son père, assis dans son fauteuil devant la cheminée, daigne enfin lever les yeux vers sa plus âgée des filles. Pourtant, pendant un court instant, aucuns sons ne sont sortis de sa bouche, juste un raclement de gorge et il a fait rouler ses yeux. Une attitude que Mary prendrait par la suite, avec les années.
Comte Abbott finit par faire un mouvement de la main signifiant à son majordome, qu'il pouvait finalement faire rentrer le chien, mais il apposa une condition à sa fille. « S'il salit, c'est toi qui nettoiera Mary... Pas les femmes de ménage... toi ! » Comtesse Abbott, qui n'était autre que la mère de Mary fit de grand yeux rond à son époux, mais ne broncha pas pour autant parce qu'il n'était pas question qu'elle donne son point de vue. Lady Mary quant à elle, n'a pas réfléchie longtemps et hocher déjà la tête pour indiquer son approbation quant à la requête de son père. Après tout, cela ne changerai pas de d'habitude, ça ne serait pas la première fois qu'elle donnerai un coup de main à la femme qui se chargerait de laver à sa place.
Parce que son père faisait toujours ce genre de réflexion, mais il ne s'en tenait jamais et quand il demandai à Mary, de faire quelques chose qui ressemblait à faire le ménage... Il finissait par lui dire de laisser tomber, bien entendu. Pourquoi laisserait-il sa fille laver, alors qu'il a des personnages payés pour ça?

Tout ceci pour dire que ses parents ne furent pas des plus odieux durant son enfance et encore maintenant, elle peut être heureuse de ce qu'elle as. Elle le sais, qu'elle est chanceuse, mais à toujours tenu à aider dans la maison et à descendre dans les cuisines pour aider à faire le repas.