Un ≈Elsie adore chanter. Il faut dire que sa petite voix cristalline fait son effet. Deux ≈ La jolie rousse aime les romans d'amour. Trois ≈ Elsie est souvent prise pour une fille plutôt simple d'esprit, alors qu'elle est loin d'être bête. Quatre ≈Les codes sociaux sont pour elle une vraie énigme. Cinq ≈Elle fait cent pour cent confiance en son  instinct. Mais ça ne marche pas à chaque fois, loin de là.  Six ≈Elle aime se faire de jolies coiffures et mettre des fleurs dans ses cheveux.Sept ≈ Il lui arrive très souvent d'acheter du tissus pour faire ses robes. Huit ≈Elsie rêve de retrouver Eugène. Pourtant, elle a peur de sa réaction... Neuf ≈Elle n'ose plus retourner à l'église. Même si parfois il lui arrive de rester longtemps devant la porte. Dix ≈Quand elle est gênée, Elsie se mord la lèvre inférieure.

T'es arrivé ici comment ? ≈ En tapis volant  . Topsite quoi ! Tu penses quoi de ce joyeux bordel ? ≈ Je sens que je vais aimer ce joyeux bordel et je vais encore plus mettre le bordel (positif hein, genre faire parler ma ''folitude''   ) . Un truc à nous dire ? Une petite cassdédi ? ≈ Cassdédi au créateur de ce scénario, Eugène. Je vais édifier une statut en chocolat en ton honneur copain.   Le mot magique pour passer ≈  ce n'est pas personnel, c’est uniquement les affaires.  

Elsie n’est pas une fille comme les autres. Son physique n’est pas des plus commun. Sa chevelure rousse. Son visage tacheté de petites taches de rousseur sertie de deux grandes émeraudes, lui donnant un regard empli de charme. Sa petite taille et son gabarit des plus frêles font d’elle une femme qu’on a envie de protéger. Mais ce qui caractérise le mieux la petite Eli, c’est sa naïveté. Cette innocence qui coule dans ses veines, qui se remarque aux moindres de ses gestes ou dires. Il faut dire que la jeune femme connaît le vrai monde depuis très peu de temps. Orpheline, la petite rousse n’a connu que les quatre murs de ce foyer pour enfants.

La petite Elsie regardait par la fenêtre rêvant de ce monde qui entourait sa forteresse. Il lui arrivait très souvent de se raconter des histoires. Comme quoi elle serait une princesse d’un lointain pays ou je ne sais quoi encore de fantasque. La petite fille voulait croire, espérer qu’elle n’était pas qu’une simple orpheline et pourtant, c’était bien le cas. Tout le monde savait qu’Eli avait une imagination plus que débordante. Mais comment en vouloir à ce si joli petit minois ? Son obsession pour les livres, faisait d’elle une fille isolée. À vrai dire, elle se sentait différente des autres. Et puis, Elsie de nature très naïve, se faisait souvent avoir par ces petites camarades.

En grandissant, les responsables de l’orphelinat pensaient que la meilleure place pour Elsie était au couvent. Ayant trop peur que cette dernière n’arrive pas à faire face à ce monde bien trop triste. Avec la guerre, il était préférable que la jeune fille rentre au couvent. Là-bas, elle serait en sécurité. Alors Eli rentra au couvent pour être bonne sœur.
Mais Elsie s’ennuyait à mourir au couvent. Oui, elle avait trouvé la foi, mais il lui manquait quelque chose. Connaître le monde. La jeune femme savait qu’elle n’avait pas le droit de sortir tant que ses études n’étaient pas terminées. Mais un jour, elle fit une rencontre qui allait changer sa vie à tout jamais. Twig. Ce jeune prêtre aussi beau que charmant, passait chaque semaine au couvent ramener des vivres du marcher. Au départ, elle le regardait au loin, n’osant pas lui parler. Il faut dire que pour Elsie, l’agente masculine était un monde inconnu. Alors elle le regardait avec son regard remplit de malices. Un jour, elle le suivit jusqu’au champ par lequel il partait en bicyclette. Et à partir de cet instant, un réel lien se créa entre ces deux-là. Chaque semaine, la rousse attendait Twig avec grande impatience. Elle lui posait des tonnes de question sur le monde qui l’entourait, sur lui aussi… Elsie n’a jamais eu sa langue dans sa poche et rien ne l’arrête. Cette jeune femme est déstabilisante. Elle n’a aucune limite. Tel un enfant dans le corps d’une adulte et c’est ce qui faisait tout son charme. Le jeune prêtre comprit à qui il avait à faire, mais il aimait sa compagnie. Cette rousse joviale, courant dans les champs à la recherche des plus belles fleurs. Tout paraissait si simple avec elle et si beau.

La jolie rousse mit peu de temps à tomber sous le charme de Twig. Mais au départ, elle ne savait pas vraiment à quoi cela correspondait. Et puis, la seule fois où elle a essayé d’en parler naïvement à la mère supérieure, ce n’est pas vraiment pas passé. Elle connaissait ce sentiment qu’à travers des livres qu’elle réussissait à avoir en cachette ou par d’autres bonnes sœurs lisant autres choses que la bible. Eli mourrait d’envie de connaître ce que ça ‘’faisait’’ d’embrasser un homme. Si c’était vrai que l’on sentait des papillons dans le ventre.
Un jour, Elsie commit l’irréparable. Comme d’habitude, les deux jeunes gens passèrent du temps ensemble à parler de tout et de rien. Elsie lui posait encore des centaines de questions à la minute.

Mais une chose intriguait la jeune femme, l’amour. Qu’est-ce que ça faisait lorsque l’on aimait quelqu’un ? État-ce-ce qu’elle ressentait en regardant les grands yeux verts de Twig ? Lorsqu’elle lui demanda comment c’était d’embrasser quelqu’un, celui-ci répondit : "C'est comment ? Et bien... J'sais pas... Disons que j'peux te décrire tout de la vie, oui mais ça... Faut le vivre pour comprendre." Le problème, c’est qu’Elsie voulait comprendre. Elle tira par la main le jeune prêtre au loin dans les champs.
Elle ne put s’empêcher de l’embrasser. Elsie voulait connaître la sensation que les lèvres d’un homme pouvaient provoquer sur les siennes. La jeune nonne sentit son corps s’embraser comme jamais. Elle savait que c’était un pêché, aussi intense soit-il. Mais les deux amants ne s’arrêtèrent pas là. Twig la serrait plus fort que jamais et Elsie s’accrochait à lui comme si sa vie en dépendait. Lorsqu’il commit l’irréparable, la jolie rousse sentie un malaise. Lorsqu’il commit l’irréparable, la jolie rousse sentie un malaise. Elise regarda Twig prier pour sa miséricorde, alors qu’elle, elle pleurait. Sachant que tout était de sa faute. Qu’elle venait de gâcher sa vie et surtout celle du jeune prêtre. Twig lui fit un sourire, les larmes aux yeux et parti au loin, la laissant seule. Perdue dans ce champ. Elsie n’avait pas le courage de lui demander de rester. Elle le regarda s’éloigner petit à petit, persuadée que c’était des adieux.
« Adieu Twig… »

Elsie quitta le couvent, en ne donnant aucune explication aux sœurs. Trop honteuse de son pêché. La voilà face à ce qu’elle attendait depuis toujours. Aller dehors, hors de ces murs, vivre une vie normale. Elsie aurait aimé que ça se passe d’une autre manière, mais elle préférait voir le côté positif. La jeune femme était complètement perdu, ne sachant pas quoi faire, ni à qui demander conseil. Elle trouva un petit logement dans Burberry Street ainsi qu’un emploi dans un salon de thé. Le soir, il lui arrivait de chanter dans les bars. C’était une vraie thérapie pour elle. C’était une autre façon pour Elsie de faire vibrer son corps. D’ailleurs, elle voulait vibrer que de cette seule manière. Se sentant encore trop indigne… Pourtant, tous les soirs où elle chante, ou dès qu’elle entend la clochette du salon, elle rêve de voir Twig. Il lui arrive parfois d’avoir le cœur qui bat la chamade en apercevant au loin un homme qui lui ressemble.

Cependant, un homme commence à rôder autour de la jeune femme. Un homme trouvant que sa petite voix, digne d’un petit oiseau pourrait plaire au grand public. À vrai dire, il n’est pas réellement un homme digne de confiance. Et les proches amis d’Elsie sont plutôt inquiets pour elle. Trop naïve pour s’en rendre compte, Elise se laisse mener par le bout du nez…

La jolie rousse pourrait être en danger… Mais pour le moment, Elsie ne comprend encore que très peu ce nouveau monde. Pourra-t-elle un jour s'apercevoir que les méchants sont bien plus malins dans la vie réelle que dans ses contes de fées ?

c'est tout bon alors bon jeu parmi nous petite elsie  

Bravo coco, finalement t'es pas trop mal barré pour survivre à Birmingham.   Avant de pouvoir te la couler douce, va falloir que tu bouges tes miches ! Parce que ouais, y'a pas de salaire sans travail et tout ce foutoir - j'suppose que tu connais. Dans tous les cas, tu vas d'abord aller recenser ta tronche, parce que bon ce serait triste qu'un autre vienne te la chourer. Ensuite, la case nous informer du reste est aussi obligatoire, on veut savoir ton métier, où t'habites, ton rang si tu fais partie d'un gang ou des autorités, bref, tout ça rien que pour le plaisir de bibi.   Ensuite, tu pourras faire ta fiche de liens, un scénario seulement si t'es sage et pour terminer ; tu pourras RP. Ouais, j'sais qu t'as pris autant plaisir à m'lire que j'en ai pris à écrire.   En cas d'pépin le staff est là pour toi, va vers les autres et va pas faire ta mijaurée - dans c'te ville de toute manière t'as pas à l'être.