Un ≈ Thomas est né à Paris, son père est français et sa mère d'origine anglaise. Entre eux le coup de foudre fut immédiat. Malgré les réticences de ses parents elle n'hésita pas un instant à épouser l'élu de son coeur en quittant famille et patrie. Deux ≈  Le père de Thomas est mort dans un accident ferroviaire quand celui ci avait 12 ans. Dés lors il a dû quitter Paris pour rejoindre la famille de sa mère en Angleterre.  Trois ≈ Il trouve un emploi chez les Altman à ses 20 ans pour devenir le précepteur de Twig. C'est un homme brillant qui vient d'intégrer la nouvelle Université de Birmingham. Il a impressionner les parents Altman pour obtenir le job étant donné que ce sont des gens assez fermés et qu'ils n'ont pas la mêmes croyances que lui... Mais son parcours atypique et son aisance pour la langue de Molière  fait pencher la balance en sa faveur.  Quatre ≈ Il donne des cours à Twig durant 12 ans, ils sont très proches voir fusionnels et clairement, Twig ne voit que par lui, son modèle. Ce sont les paroles de Tommy qui convaincront Twig de se convertir au christianisme. Cinq ≈ Il partira faire la guerre en France à ses débuts. Il s'est enrôlé dans l'armée sur un coup de tête alors qu'il étudiait à la faculté. Il verra des horreurs, survivra au pire, une cicatrice en forme d'étoile lui barre la poitrine, l'esprit vaincu. Six ≈ A son retour, il se marie et fonde une famille. Il l'a rencontré  alors qu'il étudiait et elle travaillait comme serveuse. Pour autant, il ne sera plus jamais la même personne, triste, en colère, parfois même agressif, ce qui provoque des instants houleux avec sa femme et son fils. Sept ≈  Il recherche Twig, perdu dans sa misère et apprend de sa soeur Betty qu'il est devenu prêtre aux abords de Birmingham. Tommy lui rend donc visite l'an passé, dévasté de constater qu'à cause de lui Twig a gâché son avenir pour une religion qui ne peut pas les sauver. Huit ≈ Depuis, il vit dans le remords et se réfugie principalement dans le gin, le jeu et les femmes. Le vice est devenue pour lui un pied de nez au dieu qui l'a si souvent abandonné.Neuf ≈ Il a vécu un stress post traumatique après 14-18. Dix ≈ Son comportement à haut risque lui vaut bien des désagréments. Bagarreur, alcoolique à ses heures il est dans la ligne de mire des bookmaker.

T'es arrivé ici comment ? ≈ Bazzart. Tu penses quoi de ce joyeux bordel ? ≈ que du bien... pour l'instant. Un truc à nous dire ? Une petite cassdédi ? ≈ C'est mon premier rp, soyez indulgent. Le mot magique pour passer ≈ ici, c'est dans le règlement coco.

22 décembre 1895,

Père est mort le mois dernier...
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Père est mort le mois dernier en nous laissant seuls mère et moi... Je n'arrive pas à y croire, même l'écrire me fait mal.
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Père est mort le mois dernier car il est monté dans cet engin de malheur celui qu'on appelle train. Le train express n°56 desservant la ligne Granville - Paris.
" Un train est tombé par la fenêtre dans la rue !" ce sont écriés les gens qui assistés à la scène d'horreur.

Le convoi était constitué de huit voitures de voyageurs qui se trouvaient directement derrière la locomotive, suivis par deux wagons de bagages et d'un wagon postal. Le dernier wagon était réservé aux bagages. Ce train était conduit par un cheminot expérimenté nommé Guillaume Marie Pellerin. Il travaillait depuis 19 ans au service des chemins de fer et son parcours jusqu'ici était exemplaire. Seulement voila, ce 22 octobre il est parti avec 10 minutes de retard et tenait absolument à ce que son train arrive à l'heure... question de fierté sans doute. Malheureusement il n'a pas ralenti assez tôt.  Le chef de train Albert Mariette lui a bien essayé d'actionner le frein d'urgence mais celui-ci n'a pas fonctionné non plus. La fatalité sans doute. À 4 heures précises, le convoi a fracassé les heurtoirs, traversé la gare et la terrasse, défoncé le mur de façade puis est tombé sur la station de tramways située 10 mètres en contrebas.
Il y eut seulement cinq blessés graves directs : deux voyageurs, un pompier et les deux employés des chemins de fer. "SEULEMENT"... père faisait parti d'un des deux voyageur. Il n'est pas mort tout de suite comme cette pauvre Marie-Augustine Aguilard la responsable du kiosque à journaux installé devant la gare, rue de Rennes. Ce jour-là elle remplaçait son mari et fut tuée, non par la locomotive, qui passa au-dessus d'elle sans la toucher, mais par un morceau de maçonnerie tombé de la gare. L'absurdité sans doute. Son mari pense qu'elle n'a pas souffert et à déclaré " Elle est morte, tuée sur le coup. Elle tricotait, assise sur les marches de la buvette. Et me voilà seul avec mes deux petits garçons."

Maintenant père lui aussi nous a laissé seul. Sa blessure trop importante n'a pu être guéri et a fini par l'achever. En plus de faire le deuil de mon géniteur et vais devoir enterrer ma vie. Mère veut que nous rejoignons sa famille en Angleterre. Je voudrais faire preuve de résilience pour que papa et dieu soient fiers de moi mais...
Je ne connais pas ces gens...
Je ne connais pas ce pays...
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Père est mort le mois dernier...