Almudena Lojano Les teignes au pain rassis ≈ ARRIVÉE : 24/05/2015 ≈ IMPACTS : 21 ≈ AVATAR : Penelope Cruz ≈ ÂGE : Trente six ans ≈ MÉTIER : Déesse de la nuit pour vous servir. ≈ DES ARMES ? : Un couteau dans ses bottes ou son porte jarretelle. Mieux vaut être prudent. ≈ GANG : Pourvu que ça dure. Ainsi, les hommes de ces gangs sont à crans et ont besoin de se détendre dans ses bras pour une nuit. | Sujet: (f) scarlett johansson ≈ la main gantée Dim 31 Mai - 16:15 | |
| Dieu me déteste Un ≈ Elle est issue d'une famille bourgeoise et catholique. Toute son enfance, elle a entendue parler de "bonnes valeurs". Elle n'a jamais été une enfant rebelle ou sauvage. Au contraire, c'était une petite fille sage et sans histoire et les choses n'ont pas beaucoup changé en grandissant. Deux ≈ Elle rêvait d'être infirmière depuis qu'elle était enfant. Elle voulait sauver des vies, c'était la seule chose qui la passionnait réellement. Trois ≈ Elle est très croyante. Elle va régulièrement à l'église. Quatre ≈ Elle a rencontré son mari, plus âgé qu'elle, lorsqu'elle avait dix huit ans. Son père était responsable de cette rencontre mais ça n'avait pas d'importance. C'était un bon parti et un homme bon, c'était la seule chose importante. Entre eux, ça n'a jamais été un coup de foudre mais peu importe, elle l'aimait. Ils s'entendaient bien et c'était ce qui comptait finalement. (Elle peut avoir eu des enfants si vous voulez). Cinq ≈ Elle ne supporte pas la guerre des gangs qui sévit en ville. Elle n'a jamais été partisane de la violence. Six ≈ Son mari est parti à la guerre en 1915 et il est rentré en fin d'année 1919. Elle ne l'a jamais revu pendant ce temps. Finalement, il a passé plusieurs années en prison pour avoir tenté de déserter. Elle le croyait mort. Sept ≈Elle s'est toujours comporté comme une épouse parfaite. Pour elle, faire bonne impression aux gens est essentielle. Elle ne supporte pas la provocation. Helen Nom Nom ≈ Au choix Prénom(s) ≈ Helen (négociable) Âge ≈ Entre trente et trente trois ans. Origine(s) ≈ Au choix Date de naissance ≈ Au choix Lieu de naissance ≈ Au choix Religion ≈ Catholique. Elle est très croyante et pratiquante. Classe sociale ≈ Plutôt aisé. Statut marital ≈ Mariée. Orientation sexuelle ≈ Elle aime quelqu'un, elle n'aime pas un sexe. Pourtant, elle ne s'était jamais posée la question. Pour elle, elle est censée aimer les hommes. C'est comme ça. C'est ce que Dieu veut. Le reste, c'est contre nature. C'est ainsi qu'elle voit les choses. Métier ≈ Infirmière Traits de caractère ≈ Douce, tendre, élégante, gentille, sûre d'elle, susceptible, aimante, attentive, se préoccupe du regard des autres etc... Avatar ≈ Scarlett Johansson. Totalement négociable, je veux juste pouvoir donner mon avis sur l'avatar qui sera choisit. Crédits ≈ Visages du passé
Almudena Lojano Amour défendu ≈ Entre elles, ce fût un coup de foudre. La première fois qu'Helen a vu Almudena s'était à la maison close. Elle était venue accompagnée d'un médecin pour la soigner alors qu'elle avait attrapé un virus. Au fil du temps, elles sont devenues proches, bien que très différentes. Almudena représentait la force, la provocation et la rébellion. De son côté, Helen était cette fille douce, calme et de bonne famille. Elles n'étaient certainement pas faites pour s'entendre et encore moins pour s'aimer. Pourtant, elles se sont aimées d'un amour si pur, si intense. Helen détestait ressentir une chose pareille. Elle détestait ressentir autant de désir pour une femme qui plus est prostituée. Pourtant, elle ne pouvait chasser ces pensées que Dieu aurait jugé perverses. Elle ne pouvait détourner son regard d'Almudena. Jamais. Son mari était à la guerre à cette période. Elle était seule. Triste. En manque d'amour. Almudena était là. Ce qu'elle ressentait pour Almudena c'était de l'amour. C'était un coup de foudre. Cette chose qu'elle n'avait jamais réussit à ressentir pour son mari. Alors elle a finit par céder à ses envies. Elles se sont aimées en secret. Elles se retrouvaient dans des endroits cachés qui devenaient des lieux qui abritaient leur secret. Helen l'aimait tellement qu'il devenait difficile pour elle de savoir que tous les soirs, lorsque Almudena rentrait à la maison close, elle couchait avec d'autres hommes. Helen ne le supportait pas tant son amour pour la jeune espagnole était fort. Elle savait qu'en pensant ou agissant ainsi, elle risquait gros. Elle risquait de ne pas pouvoir atteindre le paradis un jour. Seulement, elle ne pouvait résister à l'amour qu'elle ressentait pour Almudena. Pourtant, son mari vient de revenir de la guerre. Elle culpabilise de lui avoir été infidèle, de l'avoir cru mort. Il y a quelques mois, elle a annoncé à Almudena que leur histoire était terminée, qu'elle devait redevenir l'épouse que son mari attendait. Extrait de ma fiche - Spoiler:
BIRMINGHAM, Juin 1917. « Hijo de puta ! » C'est sortie de sa bouche sans qu'elle puisse réellement contrôler ce qui en sortirait. Elle ne parlait pas l'espagnol, juste certains mots de temps en temps que sa tante disait souvent. Comme celui-ci par exemple. La jeune rouquine allongée sur le lit, son amie de longue date était couverte de bleus et de sang, tout ça parce qu'un homme impuissant avait besoin de violenter les femmes pour être capable d'éjaculer. La jeune blonde penché sur le lit pour s'occuper de son amie, se retourne vers elle. C'était la nouvelle infirmière qui venait régulièrement s'occuper des filles quand il y en avait besoin. Le Dr de la ville l'envoyait. Elle venait depuis déjà presque deux ans. Elle était appréciée des femmes et celles-ci lui faisaient confiance. Surtout Almudena de qui la jeune infirmière était particulièrement proche. C'était étonnant, elles ne venaient pas du même monde mais elles tenaient l'une à l'autre. Sincèrement. Il leur arrivait d'ailleurs de se voir à l'extérieur en journée, quand Almudena était autorisée à sortir. C'était une chose qui arrivait souvent depuis que Gene avait reprit la direction de la maison close suite au départ précipité de son mari, directeur du bordel, en raison de la guerre. Elle était bien mieux qu'Anna,aujourd'hui décédée. La maquerelle maintenant, c'était Gene. Elle gérait absolument tout dans cette maison et les filles avaient bien plus de liberté qu'auparavant. Finalement, tout ceci permettait que les choses se passent mieux à l'intérieur du bordel. L'infirmière s'éloigne du lit pour s'approcher de Almudena. Elles sortent dans le couloir. « Elle a une côte brisé. Elle doit aller à l'hôpital. Gene sera d'accord selon toi ? » Almudena se contenta d'un signe de la tête. Gene protégeait ses filles, elle l'avait toujours fait. Bien que l'entente entre les deux femmes étaient parfois difficiles, au regard de la difficulté de Almudena a accepter une quelconque forme d'autorité, elles s'appréciaient sincèrement et se respectaient surtout. L'infirmière plonge son regard dans celui de Almudena et pousse une mèche de ses cheveux qui tombe sur son visage. « Et toi comment vas tu ? Tu sembles épuisée. » Un sourire se dessine sur le visage d'Almudena. « Je suis flatée que tu t'inquiètes pour moi mais je vais bien. » La jeune infirmière se tourne pour retourner voir sa patiente mais Almudena attrape sa main, l'empêchant d'aller plus loin. Silencieusement, elle laisse ses doigts courir sur sa peau, remontant doucement sur son poignet. La jeune infirmière ne bouge pas d'un centimètre. Elle semble effrayée. Pourtant, elle ne cherche pas à arrêter le geste de la prostituée. Almudena s'approche. Elle colle son corps au dos de la femme. Elle lâche sa main. Si l'infirmière veut s'enfuir, c'est le moment. Pourtant, elle ne fait rien. Elle ne bouge toujours pas. Elle se contente de fermer les yeux. Dans quel but ? Dans le but d'apprécier d'avantage ce moment ou de dissimuler qu'elle l'apprécie ? Almudena enfouie son visage dans les cheveux de la jeune femme. Ce moment est parfait. Tellement qu'elle aimerait qu'il dure une éternité. Qu'est ce qui lui prend ? Elle n'a jamais été aussi proche physiquement d'une femme. Pourtant, elle en rêve depuis qu'elle connait l'infirmière. Cette femme l'attire, plus que n'importe quel autre personne sur cette terre. Pour Almudena, le sexe n'était qu'un simple moyen de prendre du pouvoir sur quelqu'un. Du moins jusqu'à maintenant. Ce n'était qu'un simple moyen de gagner de l'argent facilement. Jamais elle n'avait ressentie du désir. Elle avait apprit à le feinter. On croyait qu'elle désirait mais jamais ce n'était le cas. Pourtant, là, dans ce couloir calme et silencieux, elle désirait enfin quelqu'un. Elle désirait cette femme. Elle avait envie de toucher son corps, d'entendre son souffle s'accélérer sous ses caresses mais pas dans le but de prendre le pouvoir. Non, juste pour jouir de lui donner du plaisir. Elle pose doucement sa main sur la nuque de la blonde et la caresse furtivement. « Helen, j'ai... Laisse moi poser mes lèvres sur les tiennes.» On ne dit pas ces choses là quand on est une femme et encore moins quand elles s'adressent à une autre femme. Helen se dégage de l'emprise de la brune. Elle ne la regarde pas. Elle se contente d'entrouvrir la porte qui la mènera à sa patiente. « Dieu punit ce genre de pensées. » Elle avait dit cela sans regarder Almudena. La brune pousse un soupire qu'elle ne tente même pas de dissimuler. Elle sait que ce n'est pas "normal" d'avoir envie de faire l'amour à une femme mais elle se fiche totalement que Dieu approuve ou non. De toute manière, elle n'y croit pas. « Dans ce cas, couche avec moi, tu iras te confesser après. Notre cher curé sera ravie de t'entendre conter une chose pareille, j'en suis certaine. » De la provocation pure et dure. Almudena dans toute sa splendeur. Helen se retourne et lui jette un regard des plus noirs. On ne touche pas à la religion. Pas dans cette ville, pas dans ce siècle. L'infirmière retourne voir sa patiente et ferme la porte derrière elle. Almudena reste dans ce couloir désert se demandant ce qui peut bien se passer dans son esprit pour qu'elle ait, pour la première fois, envie de faire l'amour à quelqu'un. Peu importe le sexe de cette personne, ce n'est absolument pas ce qui importe Almudena en tout cas.
BIRMINGHAM, Décembre 1919. Elle a une après midi de libre. Depuis que Gene était la maquerelle et la responsable de cet établissement les choses étaient plus simples. Il était plus facile d'être une catin. Almudena ne se s'était pourtant jamais sentie prisonnière de quoi ou qui que ce soit et n'avait jamais vraiment éprouvé le besoin de s'enfuir. Pourtant, depuis deux ans les choses devenaient compliquées et les après midi de liberté, elle les attendaient avec impatience. Helen était la cause de ce nouveau besoin de liberté et c'est justement elle qu'elle allait retrouver aujourd'hui. Elle pénètre dans une petite ruelle, c'est là qu'elle doit rencontrer Helen. C'est leur lieu, l'endroit où elles se retrouvent toujours avant de se rendre chez Helen. La jeune infirmière est en retard et c'est sans sourire qu'elle arrive enfin à la hauteur de son amante. Almudena s'approche, un large sourire sur les lèvres et attrape la main de la jeune blonde. Celle-ci recule de quelques pas pour se dégager de l'emprise de la catin. « Qu'est ce qui se passe Helen ? » Almudena fronce les sourcils attendant une réponse de celle qui fait battre son coeur depuis environ deux ans. Les choses ne se sont pas faites tout de suite entre elles. En effet, Helen ne pouvait consentir à l'idée de ressentir autant de désir et d'amour pour une femme. De son côté, Almudena était plus claire. Helen était une femme mais cela n'avait pas la moindre importance. Elle était la seule personne sur cette Terre capable d'éveiller le feu du désir en Almudena. Helen était la première personne qui faisait battre son coeur. Elles savaient toutes les deux qu'elles prenaient des risques, que si quelqu'un savait les concernant, elles pourraient finir en prison ou pire encore. Pourtant, elles n'y prêtaient plus vraiment attention. Elles faisaient attention, elles étaient discrètes mais elles avaient accepté de succomber à leur amour. Alors pourquoi Helen reculait maintenant ? « Henry est revenu. » Almudena fronce les sourcils plus fortement et fait un pas vers Helen. « Quoi ? Comment ça ? » Helen pousse un léger soupire avant de poursuivre. « Il est revenu du front. Il était prisonnier c'est la seule raison pour laquelle il n'est pas revenu avant. » Almudena pousse un soupire à son tour avant d'attraper la main d'Helen. « Ca n'a pas d'importance d'accord ?! On fera d'autant plus attention. » Helen laisse échapper un rire légèrement ironique. Elle se détache de l'emprise de Almudena pour reculer encore un peu. « C'est mon mari Almudena. J'ai déjà pêché pendant longtemps. Je ne...Je dois redevenir digne de notre mariage. » Certes, Henry était son mari mais Almudena le savait, Helen était amoureuse d'elle. Sinon pourquoi ? Pourquoi aurait elle accepté de prendre de tels risques avec une femme et une catin ?! Alumdena passe la main dans ses cheveux, comme lorsqu'elle est en colère. « C'est ça. Redeviens la charmante épouse qu'il attend.» Elle n'attend aucune réponse. De toute manière, elle connaît suffisamment la jeune infirmière pour savoir qu'elle ne trouvera rien à dire devant la provocation de Almudena. La seule solution est de partir, rentrer au bordel. Au moins là bas, elle maîtrise ce qui se passe. Là bas, elle est la reine. Pourtant, c'est avec un coeur en milles morceaux qu'elle rejoint la maison close cet après midi là.
≈ L'ENFER C'EST LES AUTRES ≈ |
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Almudena Lojano Les teignes au pain rassis ≈ ARRIVÉE : 24/05/2015 ≈ IMPACTS : 21 ≈ AVATAR : Penelope Cruz ≈ ÂGE : Trente six ans ≈ MÉTIER : Déesse de la nuit pour vous servir. ≈ DES ARMES ? : Un couteau dans ses bottes ou son porte jarretelle. Mieux vaut être prudent. ≈ GANG : Pourvu que ça dure. Ainsi, les hommes de ces gangs sont à crans et ont besoin de se détendre dans ses bras pour une nuit. | Sujet: Re: (f) scarlett johansson ≈ la main gantée Dim 31 Mai - 16:26 | |
| Tu veux prendre mon bébé ? Le mot à dire ¨Pour commencer, je tiens à te remercier d'avoir eu le courage de lire le scénario jusqu'ici. Surtout si tu as eu la force de lire les extraits de ma fiche. Dans ce cas, je te félicite. Trêve de plaisanterie et voici mes exigences. Avatar : Il est totalement négociable. En fait, pendant que je faisais ma fiche j'avais pensé à Blake Lively mais elle est prise donc tant pis. Néanmoins, j'ai mis Scarlett parce que je trouve qu'elle colle parfaitement au rôle surtout le couple Penelope-Scarlett est carrément bandant il faut l'avouer. Seulement c'est négociable à condition que ce soit une blonde et que je puisse donner mon avis. Ce qui est important c'est que tu te sentes bien pour jouer ce personnage. C'est ta tête, tu choisis. Pseudo : J'aimerai bien que le prénom reste le même étant donné que c'est celui que j'ai mis dans ma fiche mais si tu veux changer, tu peux. Je ne suis pas difficile, je préfère simplement les pseudos simples. Histoire : Comme tu as pu le constater c'est assez libre. Je te demande juste de respecter les quelques points que j'ai pu mettre, notamment concernant sa relation avec son mari. C'est important que tu ne fasses pas de lui un véritable con. Au contraire, il est bon et c'est justement là que c'est encore plus compliqué pour Helen. Elle est tiraillée entre son mari qu'elle a apprit à aimer et cette fille qui l'a rend dingue et qu'elle a aimé au premier regard. Lien : Rien n'est négociable. Elles s'aiment, c'est aussi simple que ça. Après, je promet que le lien ne va pas être de tout repos, que ça va être difficile et compliqué. Tant mieux c'est ce qu'il y a de meilleur D'ailleurs si tu veux faire le scénario de ton mari je te le conseille vivement et je pourrais t'aider si tu veux même. J'ai quelques idées. Autres : Tout le monde fait des fautes mais s'il pouvait y en avoir le moins possible ça m'arrangerait. Pour le reste, on a tous une vie en dehors du fow donc pas de soucis si tu ne réponds pas tous les jours. Je suis patiente. Tant que tu prends ce personnage et que tu prends plaisir à le jouer avec moi mais aussi les autres joueurs du forum. ≈ L'ENFER C'EST LES AUTRES ≈ |
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